Jour d'aéroport.
Il parait que je suis infernale .... et encore aujourd'hui ce n'est rien , je suis barbouillée et j'ai pris par la zone industrielle au lieu de descendre droit sur le lac du Bourget à la perpendiculaire de la route de Drumettaz .
Je n'ai donc eu le point de vue sur l'aéroport qu'au tout dernier moment .
Dans la ligne droite , la dernière ligne droite arrêt sur image , arrêt sur la chaussée aussi ;
une merveille ; l'arrière de la carlingue peint en noir avec des étoiles et une superbe sphère orangée .
Là l'espace de quelques minutes je m'en fiche des batteries foireuses du Dream liner qui couler et ont stoppé la bête comme l'eye liner que la gourde de service s'est étalée sur les cils avant d'aller draguer à la piscine sans même penser à le prendre water proof
(Oh cré vin dieu .... il est beau le bestiau ! ma fille râle qu'avec moi pas la peine de commencer la conduite accompagnée....)
Un coup sur l'accélérateur , (merde , y'en a un qui déboîtait pour doubler , je suis passé devant au débotté ... des fois qu'il range son char en m'empêchant de regarder ... l'avion pas la route )
Un coup de volant à droite , frein , frein à main , pas d'appareil photos . Saïd débarque ; Blandine se pose devant ; à gauche toute ; à droite et ..... merde : une barrière avec un agent de sécurité .
Agitation à la place du mort
" la barrière " !(quoi , la barrière ! je l'ai vue ... même que je turbine sec pour essayer au culot de montrer ma carte H handicapé pour passer au plus prêt du grillage et faire une photo )
Demi tour ; Villarcher ; route du Bourget ;
La place du mort se plaint des virages ; qu'est qu'elle croit ? que la DDE peut faire des routes droites après s'être arrêtée pour Diots -polente chez Vincent ?
La " voix de son frère" : "regarde la route " ;" si tu perds ton permis tu n'l'auras plus ..."
(merci , je sais ... depuis le temps que tu le dis
et puis c'est pas pour rien que je regarde pour un triporteur sans permis )
Chemin de traverse (sans "putes " : ça caille ) , une flaque plus large que la voiture ... plus longue aussi ... je m'en fiche si je ne passe pas pas moyen d'approcher plus à la perpendiculaire de la piste .
Tout ça pour une photo minable faite avec un téléphone portable sans zoom
Article du 03/02/2009 à 00:01
Les diots de Savoie ont leur écrin
Jean-Pierre et Jérôme Vincent.
Fondée en 1892, la boulangerie Vincent de Voglans a inventé, en
1970, une originale forme de restauration rapide : le casse croute au
diot de Savoie.
Dès 4 heures du matin, la boulangerie Vincent s'anime. Philippe et Jérôme commencent à cuire les premiers pains dans le four vieux de trois siècles. Ils seront vendus dès 7 heures, avec les premiers sandwiches aux diots de la journée. Les diots de chez Vincent sont une institution. Leur renommée dépasse Voglans, Chambéry, et même la Savoie. La raison : une ambiance particulière, une recette unique, et surtout une histoire débutée il y a cinq générations.
En 1892, André Vincent, maire de Voglans, crée un relais de poste sur la route du col du Chat, en direction de Turin et de l'Italie : c'est le début de la saga familiale. Un peu avant la première guerre mondiale, Georges Vincent, fils d'André, reprend l'affaire et la transforme en boulangerie. À l'époque, elles ne sont pas nombreuses : les gens font le pain chez eux. La boulangerie continue sur sa lancée durant la guerre, grâce au travail de la soeur de Georges, aux fourneaux pour assurer l'activité. Albert Vincent reprend la boulangerie juste avant la guerre de 39-40, et la transmet à son fils, Jean-Pierre, toujours aux commandes aujourd'hui. Il crée la société « Boulangerie Vincent » en 1981, après le décès de son père. Il travaille aujourd'hui avec son neveu, Jérôme, cinquième génération de Vincent à officier dans la boulangerie, et qui prendra la succession de l'entreprise familiale.
Au début de son histoire, la boulangerie Vincent était surtout axée sur le pain. À partir des années 70, les fameux diots apparaissent. Ces sandwiches aux diots cuits au vin rouge et aux oignons, selon la recette de madame Vincent, sont le début de la restauration rapide en Savoie. La réputation de la maison, basée sur son pain, s'étend grâce à ces casse-croûtes. Depuis ces années, la recette n'a pas changé, même si un pétrin électrique, seul élément mécanique de la production, a fait son apparition. Seules les habitudes de consommation varient. « Dans les années 70, les gens venaient acheter des diots le matin, pour casser la croûte pendant la pause, explique Jean-Pierre. Aujourd'hui, nous avons beaucoup plus de monde à midi, où nous sommes souvent complets.Les gens passent aussi chercher des diots à emporter, et nous avons des entreprises qui nous commandent parfois une centaine de diots pour le déjeuner, même si nous ne sommes pas dans l'idée de développer une activité traiteur. Et nous ne livrons pas, non plus. » Les clients ne s'y trompent pas, tout est fait à base de produits frais et locaux, « sauf le camembert » : la farine vient de chez Dégrange, minotier au Bourget-du-Lac, les diots de chez Guettaz et Poncet, charcutiers au Bourget-du-Lac, et le fromage de la coopérative de Yenne. Cela a une conséquence non négligeable : les diots cuisent jusqu'a 13 heures, pas après, et il vaut mieux commander son pain pour être sûr de l'avoir, si on ne peut pas aller le chercher le matin.
Si vous passez a la Boulangerie Vincent, au milieu des cadres, des ouvriers et des familles qui viennent goûter les fameux diots, osez demander un « double ». Même s'il n'est pas inscrit sur l'ardoise, les habitués le savent : il est possible de croquer deux diots dans un seul sandwich.http://www.la-vie-nouvelle.fr/actualite/viewArticle.php?idArticle=521
Dès 4 heures du matin, la boulangerie Vincent s'anime. Philippe et Jérôme commencent à cuire les premiers pains dans le four vieux de trois siècles. Ils seront vendus dès 7 heures, avec les premiers sandwiches aux diots de la journée. Les diots de chez Vincent sont une institution. Leur renommée dépasse Voglans, Chambéry, et même la Savoie. La raison : une ambiance particulière, une recette unique, et surtout une histoire débutée il y a cinq générations.
En 1892, André Vincent, maire de Voglans, crée un relais de poste sur la route du col du Chat, en direction de Turin et de l'Italie : c'est le début de la saga familiale. Un peu avant la première guerre mondiale, Georges Vincent, fils d'André, reprend l'affaire et la transforme en boulangerie. À l'époque, elles ne sont pas nombreuses : les gens font le pain chez eux. La boulangerie continue sur sa lancée durant la guerre, grâce au travail de la soeur de Georges, aux fourneaux pour assurer l'activité. Albert Vincent reprend la boulangerie juste avant la guerre de 39-40, et la transmet à son fils, Jean-Pierre, toujours aux commandes aujourd'hui. Il crée la société « Boulangerie Vincent » en 1981, après le décès de son père. Il travaille aujourd'hui avec son neveu, Jérôme, cinquième génération de Vincent à officier dans la boulangerie, et qui prendra la succession de l'entreprise familiale.
Au début de son histoire, la boulangerie Vincent était surtout axée sur le pain. À partir des années 70, les fameux diots apparaissent. Ces sandwiches aux diots cuits au vin rouge et aux oignons, selon la recette de madame Vincent, sont le début de la restauration rapide en Savoie. La réputation de la maison, basée sur son pain, s'étend grâce à ces casse-croûtes. Depuis ces années, la recette n'a pas changé, même si un pétrin électrique, seul élément mécanique de la production, a fait son apparition. Seules les habitudes de consommation varient. « Dans les années 70, les gens venaient acheter des diots le matin, pour casser la croûte pendant la pause, explique Jean-Pierre. Aujourd'hui, nous avons beaucoup plus de monde à midi, où nous sommes souvent complets.Les gens passent aussi chercher des diots à emporter, et nous avons des entreprises qui nous commandent parfois une centaine de diots pour le déjeuner, même si nous ne sommes pas dans l'idée de développer une activité traiteur. Et nous ne livrons pas, non plus. » Les clients ne s'y trompent pas, tout est fait à base de produits frais et locaux, « sauf le camembert » : la farine vient de chez Dégrange, minotier au Bourget-du-Lac, les diots de chez Guettaz et Poncet, charcutiers au Bourget-du-Lac, et le fromage de la coopérative de Yenne. Cela a une conséquence non négligeable : les diots cuisent jusqu'a 13 heures, pas après, et il vaut mieux commander son pain pour être sûr de l'avoir, si on ne peut pas aller le chercher le matin.
Si vous passez a la Boulangerie Vincent, au milieu des cadres, des ouvriers et des familles qui viennent goûter les fameux diots, osez demander un « double ». Même s'il n'est pas inscrit sur l'ardoise, les habitués le savent : il est possible de croquer deux diots dans un seul sandwich.http://www.la-vie-nouvelle.fr/actualite/viewArticle.php?idArticle=521
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