samedi 23 février 2013

les mots du jour

 Samedi .

 Jour d'aéroport.
 Il  parait que  je suis infernale .... et encore aujourd'hui  ce  n'est rien   , je suis  barbouillée et  j'ai pris par la zone industrielle au  lieu  de descendre droit sur le lac  du Bourget à  la perpendiculaire  de la route de Drumettaz .






 Je  n'ai donc  eu le point de vue sur l'aéroport  qu'au tout dernier moment .


 Dans la ligne droite , la dernière ligne droite  arrêt  sur image , arrêt sur la chaussée aussi ;

  une   merveille ; l'arrière de la carlingue  peint   en noir avec des étoiles  et une superbe sphère orangée .

 Là  l'espace de quelques  minutes   je  m'en  fiche   des  batteries   foireuses du Dream liner   qui    couler et ont stoppé  la  bête   comme  l'eye liner que la gourde de service  s'est étalée  sur les  cils  avant d'aller  draguer  à la piscine  sans même penser  à le prendre  water proof
 (Oh  cré  vin dieu  .... il est  beau  le  bestiau ! ma  fille  râle qu'avec moi pas la peine de commencer la conduite accompagnée....)
  Un coup sur  l'accélérateur , (merde   , y'en a  un qui déboîtait pour doubler  , je suis passé  devant au débotté  ... des fois qu'il range son char  en m'empêchant de regarder ... l'avion  pas la  route  )
 Un  coup de  volant   à droite , frein , frein  à main  , pas d'appareil  photos . Saïd  débarque ;  Blandine   se  pose devant  ;   à gauche toute ;  à droite et ..... merde  : une  barrière avec un agent  de sécurité .
 Agitation   à la place du  mort
" la barrière " !(quoi  , la  barrière !  je  l'ai  vue  ... même que  je turbine   sec  pour essayer  au    culot  de montrer ma carte H handicapé  pour passer   au plus prêt  du  grillage  et  faire une  photo )

 Demi tour ;   Villarcher ; route  du  Bourget ;
 La place du mort se plaint  des  virages ; qu'est qu'elle croit  ?  que la DDE  peut  faire des routes  droites  après s'être  arrêtée pour Diots -polente  chez Vincent  ?
 La " voix de son frère" :  "regarde la route " ;" si  tu perds  ton permis  tu  n'l'auras plus ..."
 (merci ,  je sais ... depuis le temps que tu le dis
 et puis   c'est pas pour rien que  je regarde pour  un triporteur sans permis  )

 Chemin de traverse  (sans "putes " : ça  caille  )  ,  une  flaque  plus large que  la  voiture ... plus longue aussi ... je  m'en  fiche   si  je  ne passe pas  pas  moyen d'approcher plus  à la perpendiculaire de la  piste .


 Tout  ça pour une  photo minable faite avec un téléphone portable  sans  zoom 




Article du 03/02/2009 à 00:01


Les diots de Savoie ont leur écrin

Jean-Pierre et Jérôme Vincent.
Fondée en 1892, la boulangerie Vincent de Voglans a inventé, en 1970, une originale forme de restauration rapide : le casse croute au diot de Savoie.

Dès 4 heures du matin, la boulangerie Vincent s'anime. Philippe et Jérôme commencent à cuire les premiers pains dans le four vieux de trois siècles. Ils seront vendus dès 7 heures, avec les premiers sandwiches aux diots de la journée. Les diots de chez Vincent sont une institution. Leur renommée dépasse Voglans, Chambéry, et même la Savoie. La raison : une ambiance particulière, une recette unique, et surtout une histoire débutée il y a cinq générations.

En 1892, André Vincent, maire de Voglans, crée un relais de poste sur la route du col du Chat, en direction de Turin et de l'Italie : c'est le début de la saga familiale. Un peu avant la première guerre mondiale, Georges Vincent, fils d'André, reprend l'affaire et la transforme en boulangerie. À l'époque, elles ne sont pas nombreuses : les gens font le pain chez eux. La boulangerie continue sur sa lancée durant la guerre, grâce au travail de la soeur de Georges, aux fourneaux pour assurer l'activité. Albert Vincent reprend la boulangerie juste avant la guerre de 39-40, et la transmet à son fils, Jean-Pierre, toujours aux commandes aujourd'hui. Il crée la société « Boulangerie Vincent » en 1981, après le décès de son père. Il travaille aujourd'hui avec son neveu, Jérôme, cinquième génération de Vincent à officier dans la boulangerie, et qui prendra la succession de l'entreprise familiale.

Au début de son histoire, la boulangerie Vincent était surtout axée sur le pain. À partir des années 70, les fameux diots apparaissent. Ces sandwiches aux diots cuits au vin rouge et aux oignons, selon la recette de madame Vincent, sont le début de la restauration rapide en Savoie. La réputation de la maison, basée sur son pain, s'étend grâce à ces casse-croûtes. Depuis ces années, la recette n'a pas changé, même si un pétrin électrique, seul élément mécanique de la production, a fait son apparition. Seules les habitudes de consommation varient. « Dans les années 70, les gens venaient acheter des diots le matin, pour casser la croûte pendant la pause, explique Jean-Pierre. Aujourd'hui, nous avons beaucoup plus de monde à midi, où nous sommes souvent complets.Les gens passent aussi chercher des diots à emporter, et nous avons des entreprises qui nous commandent parfois une centaine de diots pour le déjeuner, même si nous ne sommes pas dans l'idée de développer une activité traiteur. Et nous ne livrons pas, non plus. » Les clients ne s'y trompent pas, tout est fait à base de produits frais et locaux, « sauf le camembert » : la farine vient de chez Dégrange, minotier au Bourget-du-Lac, les diots de chez Guettaz et Poncet, charcutiers au Bourget-du-Lac, et le fromage de la coopérative de Yenne. Cela a une conséquence non négligeable : les diots cuisent jusqu'a 13 heures, pas après, et il vaut mieux commander son pain pour être sûr de l'avoir, si on ne peut pas aller le chercher le matin.

Si vous passez a la Boulangerie Vincent, au milieu des cadres, des ouvriers et des familles qui viennent goûter les fameux diots, osez demander un « double ». Même s'il n'est pas inscrit sur l'ardoise, les habitués le savent : il est possible de croquer deux diots dans un seul sandwich.
http://www.la-vie-nouvelle.fr/actualite/viewArticle.php?idArticle=521





 

Aucun commentaire: