Anciens résistants ou soldats, la France leur rend hommage. Le secrétaire d'État aux Anciens Combattants Hubert Falco a présenté mardi un "diplôme d'honneur" visant à rendre hommage à chacun des 250.000 titulaires de la carte d'anciens combattants de 39-45, à l'occasion du 70e anniversaire de la Seconde Guerre mondiale.
Ce diplôme pourra leur être décerné par les maires ou consuls de France à une date de leur choix au moment des commémorations. "Servant dans l'armée française, les forces françaises libres ou la résistance, ils ont accompli leur devoir aux heures terribles de l'histoire et se sont engagés au nom de valeurs qui fondent encore notre République", a souligné le secrétaire d'État. Parlant d'un "geste symbolique", Hubert Falco a indiqué qu'il s'agissait de "rendre hommage" à ces anciens combattants et de leur témoigner "notre admiration et notre gratitude".gagés au nom de valeurs qui fondent encore notre République", a souligné le secrétaire d'État. Parlant d'un "geste symbolique", Hubert Falco a indiqué qu'il s'agissait de "rendre hommage" à ces anciens combattants et de leur témoigner "notre admiration et notre gratitude".
rappelez moi .... les prochaines élections présidentielles ne serait ce pas pour bientôt ?
En parallèle à la présence sarkosienne sur les Glières il y a eu un devoir de mémoire dont je ne mets pas en doute la sincérité
IZIEU — "Il ne suffit pas de ne pas oublier", a déclaré mardi Simone Veil, ancienne présidente du parlement européen et membre de l'Académie française, au mémorial des enfants juifs d'Izieu (Ain), déportés à Auschwitz par les nazis le 6 avril 1944, a constaté un journaliste de l'AFP.
Ce jour-là, 44 enfants et 7 éducateurs juifs avaient été arrêtés par les nazis sur les lieux même de ce mémorial, une maison ordinaire désormais appelée "Maison des enfants d'Izieu", où ils avaient été placés à partir de mai 1943 dans l'espoir d'échapper à la déportation.
Seule une éducatrice, Léa Feldblum, qui témoignera en 1987 au procès de Klaus Barbie (chef de la Gestapo à Lyon), parviendra à s'échapper.
La "Maison des enfants d'Izieu", créée en 1943 sous le nom de "Maison des enfants de l'Hérault", était une colonie créée par Sabine et Miron Zlatin, qui a permis pendant près d'un an à plus d'une centaine d'enfants juifs de trouver un refuge contre les rafles menées par l'occupant et la police de l'Etat français.
Mme Veil a adressé une mise en garde aux jeunes générations : "Il ne suffit pas de ne pas oublier (...). Ce ne sont pas seulement les Allemands qui sont en cause. Nous avons tous une responsabilité", a-t-elle lancé.
"Je voudrais insister sur le fait qu'ici, la barbarie nazie a fait en sorte que les jeunes qui étaient là, qui se croyaient protégés, eh bien, ce n'était pas vrai", a encore dit Mme Weil dans une brève allocution devant quelque 200 personnes.
Elle a aussi prononcé les mots suivants
Quand je suis moi-même rentrée de déportation, presque sans famille, je n'ai pas du tout pensé à la vengeance."Partie, après la guerre, vivre en Allemagne avec son mari, "nous y avons élevé nos enfants dans l'idée que nous, les Européens, devions vivre ensemble"C'est également l'idée qui est développée dans la préface de " Lieutenant de panzers " de August Von Kagenech qui ayant vécu son enfance dans une partie de l'Allemagne sous occupation française a été confronté au désir de revanche , a vu comment pour " un moindre mal " certains ont participé- dans un premier temps - aux activités mises en place par le régime hitlérien puis ont rejeté ce qui relevait du nazisme alors que leurs convictions étaient mises à mal .
Convaincu dans sa jeunesse du bien fondé d'entrer dans la Wehrmacht ses écrit et prises de positions témoignent de ses convictions ."Kageneck met fin au mythe qui voulait absoudre l'armée traditionnelle des crimes de guerre perpétrés au cours de la Seconde Guerre Mondiale pour en charger les SS, exclusivement. Cette théorie avait été bâtie après l'échec de la CED, en 1955, qui imposait le réarmement allemand pour contrer la menace soviétique. Kageneck montre, qu'en réalité, la Wehrmacht s'est largement fourvoyée dans la mise en oeuvre du génocide hitlérien"
Toujours dans la presse et autour du même sujet :
Publié le 26 Avril 2010
Le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, s'est rendu à Vichy dimanche pour la 65ème journée de la déportation. "La ville de Vichy aujourd’hui, ce sont des habitants comme les autres qui souffrent qu’on parle de Vichy pour suggérer le régime du maréchal Pétain", a-t-il expliqué sur Europe 1 lundi. Il ne s’agissait pas d’un pardon. "C’est surtout un travail de mémoire qui s’est opéré à Vichy hier
Une dernière chose : j'ai lu récemment , je ne sais plus où , que Hitler et/ou ses sbires avaient envisagé d'enlever le Pape Pie XII et de l'échanger contre Mussolini après que les Alliés aient envahis la péninsule .... il n'en fut rien et ce descendant de ceux qui se sont alliés à Victor Emmanuel II de Savoie pour faire l'unité de l'Italie , y compris les états pontificaux , est en bonne voie d' être sanctifié pour ne pas s'être opposé clairement et efficacement au fascisme .
Dire que nous aurions pu avoir un futur saint auréolé par son "martyr" dans les châteaux nazis , le Duce libéré .... au pays de Berlusconi ce serait la poule aux oeufs d'or pour certains politiques
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/les-affiches-electorales-de-la-39279
http://www.europe1.fr/France/Un-travail-de-memoire-a-Vichy-182573/
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gzui3eE3EDhOfFQSdeBov8wHF1ww
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