Les honneurs de la nation ont été rendus aux deux soldats morts lundi en Afghanistan, en présence du ministre de la défense Hervé Morin, au 402e Régiment d’artillerie de Châlons-en-Champagne auquel appartenaient les victimes. Le Réunionnais Mathieu Toinette a reçu la Légion d’honneur à titre posthume
.http://www.clicanoo.com/index.php?page=article&id_article=233737
Et en plus l'état français conteste la nationalité française à certains de ces soldats après les avoir envotés sur le terrain ; "ils " n'ont pas vergogne ceux là qui restent dans les bureaux pour attribuer des décorations posthumesLa famille du régiment professionnel castrais à nouveau touchée par la disparition de l'un des siens en Afghanistan ! C'est en effet un ancien du 8e RPIMa qui est décédé mercredi dernier des suites de ses blessures au sein de l'hôpital militaire de Kaboul. Il y avait été transporté en hélicoptère en fin de matinée en compagnie de deux de ses camarades. En effet, un convoi de logistique du 35e bataillon de l'armée afghane et d'une équipe de liaison et d'encadrement (OMLT) française venaient d'être touchés par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) sur la route reliant la base de Bagram à celle de Nijrab... Celles-là même où a séjourné en 2008 et durant plusieurs mois un bataillon du 8e RPIMa sous les ordres du colonel Jacques Aragones.Le soldat français décédé appartenait au 517e Régiment du train de Châteauroux. Au moment de l'explosion, il était chef de bord d'un Véhicule de l'avant b lindé (VAB). Agé de 40 ans, le maréchal des logis Harouna Diop, était affecté au 517e depuis la création de ce régiment en 1998.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/16/756135-Castres-Un-ex-du-8-est-tombe-en-Afghanistan.html
" Toute guerre a ses limites . Sauf que là , on n'est plus dans les normes . Qu'espère t'on après l'apocalypse ? Que va t'il rester du monde , hormis la pestilence et le chaos ? le bon Dieu , Lui Même , S'en arracherai les cheveux jusqu'à ce que Sa cervelle lui dégouline sur la figure ... "
dans les sirènes de Bagdad de Yasmina Khadra
http://www.20minutes.fr/article/376806/Monde-Tensions-franco-americaines-en-Haiti.php
Par ailleurs les américains qui mènent le bal au Moyen Orient semblent avoir pris un pouvoir implicite en Haïti aux dépens des intérêts de tous sans distinction d'origine
Les Américains, chargés de la gestion de l’aéroport de Port-au-Prince, sont accusés de monopoliser la piste pour évacuer ses ressortissants. L’ambassade américaine, elle, dément.
Tensions diplomatiques
La situation était tendue, dimanche 17 janvier, dans la capitale haïtienne Port-au-Prince, théâtre de scènes de pillage et d'exode, alors que la communauté internationale, Etats-Unis en tête, tentait d'organiser les secours après le séisme qui a fait, selon un dernier bilan de l'OMS publié dimanche, entre 40.000 et 50.000 morts. Samedi, le Premier ministre haïtien, Jean-Max Bellerive, a indiqué à l'AFP que plus de 25.000 corps avaient été enlevés et ensevelis.
Quatre jours après le tremblement de terre qui a frappé à une dizaine de kilomètres de la capitale haïtienne, les habitants continuaient d'attendre l'assistance humanitaire dans un pays totalement désorganisé.
En milieu de journée samedi, des affrontements violents ont opposé dans une rue commerçante du centre-ville un millier de personnes qui se disputaient des marchandises volées dans des magasins et des maisons.
Malgré l'arrivée progressive des secours, certains ont décide de fuir la ville, emportant seulement un sac ou une valise et espérant trouver refuge chez un parent à la campagne, moins touchée par la catastrophe.
Bien que l'aide internationale continue d'arriver à Port-au-Prince, son acheminement jusqu'à ceux qui en ont besoin demeure un problème.
"La distribution est totalement désorganisée. Ils ne parviennent pas à identifier les personnes qui ont besoin d'eau. Les malades et les personnes âgées n'ont aucune chance", estime un habitant de Port-au-Prince.
Des personnes gagnées par le désespoir ont confectionné des banderoles sur lesquelles sont inscrits à la peinture les mots, "nous avons besoin d'aide pour les victimes, nous avons besoin d'aide et de nourriture".
Malgré l'afflux de l'aide, la situation sur place crée un phénomène d'entonnoir qui rend difficile l'acheminement des secours.
L'aéroport de Port-au-Prince dispose d'une capacité limitée et a été très endommagé par le séisme, obligeant les Américains, qui ont pris le contrôle de la base aérienne, à gérer une situation complexe. Cette décision a provoqué un mini-incident diplomatique avec la France, qui a accusé les Etats-Unis d'avoir refoulé, vendredi, un avion français transportant un hôpital de campagne, avant de démentir toute protestation.
Les secours commencent par ailleurs à mettre cap vers le sud-ouest de la capitale, vers l'épicentre du séisme. Un premier convoi d'aide est arrivé samedi à Léogâne, ville de 134.000 personnes, à 17 km de Port-au-Prince. Des villas coloniales à l'église, en passant par les petites cabanes de plage, plus rien ou presque n'est debout. 90% des bâtiments y ont été détruits, selon l'ONU.
"C'est une petite distribution qui n'est pas du tout digne et qui ne correspond pas à la catastrophe que nous avons vécue", enrage Maxime Dumont, 49 ans.
Carrefour, une ville de 334.000 habitants, est à moitié détruite, tout comme Jacmel, a ajouté l'ONU.
Au milieu du chaos, les recherches se poursuivaient. "Les 72 premières heures sont décisives. Après ça, les chances de retrouver des survivants sont très minces", a noté un secouriste espagnol.
Les équipes de Médecins sans frontières présentes en Haïti ont pour leur part affirmé dimanche "ne jamais avoir vu autant de blessures aussi graves"
Franchement "annonces Google " est de mauvais goût entre les demeures à rénover et la pub pour la retraite des anciens combattants ... mais je ne sait pas comment l'effacer
Lire les liens du blog de Nico ne fait que me conforter dans l'idée que je me fais du "petit" commerce sous jacent à ce site bien utile et je vais avoir quelques difficultés déontologiques à dire ' google est mon ami "
http://agitationneuronale.unblog.fr/2009/11/14/clin-doeil/
Par ailleurs les américains qui mènent le bal au Moyen Orient semblent avoir pris un pouvoir implicite en Haïti aux dépens des intérêts de tous sans distinction d'origine
Les Américains, chargés de la gestion de l’aéroport de Port-au-Prince, sont accusés de monopoliser la piste pour évacuer ses ressortissants. L’ambassade américaine, elle, dément.
Tensions diplomatiques
Parallèlement au non décollage d’avions, d’autres n’ont pas pu se poser. La gestion de l'aéroport par les Américains a ainsi créé des tensions diplomatiques après le refoulement vendredi d'un avion français qui avait à son bord un hôpital de campagne, alors que les moyens pour traiter les blessés manquent cruellement.
«Quand un avion qui transporte à bord un hôpital de campagne ne peut pas atterrir, ce n'est pas possible», a réagi le secrétaire d'Etat français à la Coopération, Alain Joyandet. «Il y a eu un problème de coordination et de discernement.»
Problèmes de coordination
«On décide en coordination avec l'ONU et les Haïtiens», a expliqué l’ambassadeur américain Kenneth Merten, en rappelant la nécessité de hiérarchiser les priorités: «il est clair qu'il y a un problème», a-t-il reconnu. Il met néanmoins en avant le fait que les Américains ont été capables de rendre, en 24 heures, utilisable l'aéroport dont la tour de contrôle a été touchée par le séisme.
Finalement les Français devaient être évacués samedi et l'hôpital de campagne était attendu dans l'après-midi. Sur le tarmac, des caisses remplies d'aide et des engins attendent au soleil. Là aussi, il y a un «gros problème de coordination», reconnaissent les autorités haïtiennes.
L'aide et les secours commencent à arriver à Haïti, où le séisme a fait, selon l'OMS, entre 40.000 et 50.000 morts. Mais la distribution est "totalement désorganisée", accusent des habitants.
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Distribution de vivres à Port-au-Prince (Reuters)
Quatre jours après le tremblement de terre qui a frappé à une dizaine de kilomètres de la capitale haïtienne, les habitants continuaient d'attendre l'assistance humanitaire dans un pays totalement désorganisé.
En milieu de journée samedi, des affrontements violents ont opposé dans une rue commerçante du centre-ville un millier de personnes qui se disputaient des marchandises volées dans des magasins et des maisons.
Malgré l'arrivée progressive des secours, certains ont décide de fuir la ville, emportant seulement un sac ou une valise et espérant trouver refuge chez un parent à la campagne, moins touchée par la catastrophe.
"La distribution est totalement désorganisée"
Bien que l'aide internationale continue d'arriver à Port-au-Prince, son acheminement jusqu'à ceux qui en ont besoin demeure un problème.
"La distribution est totalement désorganisée. Ils ne parviennent pas à identifier les personnes qui ont besoin d'eau. Les malades et les personnes âgées n'ont aucune chance", estime un habitant de Port-au-Prince.
Des personnes gagnées par le désespoir ont confectionné des banderoles sur lesquelles sont inscrits à la peinture les mots, "nous avons besoin d'aide pour les victimes, nous avons besoin d'aide et de nourriture".
Malgré l'afflux de l'aide, la situation sur place crée un phénomène d'entonnoir qui rend difficile l'acheminement des secours.
L'aéroport de Port-au-Prince dispose d'une capacité limitée et a été très endommagé par le séisme, obligeant les Américains, qui ont pris le contrôle de la base aérienne, à gérer une situation complexe. Cette décision a provoqué un mini-incident diplomatique avec la France, qui a accusé les Etats-Unis d'avoir refoulé, vendredi, un avion français transportant un hôpital de campagne, avant de démentir toute protestation.
Les secours se dirigent vers l'épicentre du séisme
Les secours commencent par ailleurs à mettre cap vers le sud-ouest de la capitale, vers l'épicentre du séisme. Un premier convoi d'aide est arrivé samedi à Léogâne, ville de 134.000 personnes, à 17 km de Port-au-Prince. Des villas coloniales à l'église, en passant par les petites cabanes de plage, plus rien ou presque n'est debout. 90% des bâtiments y ont été détruits, selon l'ONU.
"C'est une petite distribution qui n'est pas du tout digne et qui ne correspond pas à la catastrophe que nous avons vécue", enrage Maxime Dumont, 49 ans.
Carrefour, une ville de 334.000 habitants, est à moitié détruite, tout comme Jacmel, a ajouté l'ONU.
Au milieu du chaos, les recherches se poursuivaient. "Les 72 premières heures sont décisives. Après ça, les chances de retrouver des survivants sont très minces", a noté un secouriste espagnol.
Les équipes de Médecins sans frontières présentes en Haïti ont pour leur part affirmé dimanche "ne jamais avoir vu autant de blessures aussi graves"
Franchement "annonces Google " est de mauvais goût entre les demeures à rénover et la pub pour la retraite des anciens combattants ... mais je ne sait pas comment l'effacer
Lire les liens du blog de Nico ne fait que me conforter dans l'idée que je me fais du "petit" commerce sous jacent à ce site bien utile et je vais avoir quelques difficultés déontologiques à dire ' google est mon ami "
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